Le sentiment subjectif du temps, disait Einstein, nous permet d’ordonner nos impressions ; mais relier chaque instant du temps à un nombre en employant une horloge, c’est déjà une invention. Parce que, selon Einstein, il est subjectif, le sentiment du temps, ne serait donc qu’un concept à partir duquel, depuis les cadrans solaires de l’antiquité, jusqu’aux horloges atomiques d’aujourd’hui, les hommes ont inventé des machines de plus en plus précises pour le mesurer, et même pourquoi pas pour le remonter.
Jean Jandaly, in Une histoire illustrée de la mesure du temps, de la course au soleil aux horloges atomiques
sábado, 15 de maio de 2010
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