De 24 de Junho a 14 de Agosto, em parceria com a Vacheron Constantin, o Museu Nacional de Singapura leva a afeito uma exposição que convida à descoberta da história da manufactura relojoeira e da Alta Relojoaria genebrina.
Primeira grande exposição pública do património da mais antiga manufactura relojoeira do mundo em actividade ininterrupta, "Tesouros da Vacheron Constantin - Um Legado em Relojoaria desde 1755" parte à descoberta de mais de 250 anos de criatividade e savoir-faire.
Concebida como uma viagem iniciática em redor do espírito dos artesãos "cabinotiers" do século XVIII, a exposição é uma viagem de exploração na evolução da medida do tempo, das profissões a ela ligada e da influência das correntes artísticas, uma triologia que ritma a história da Vacheron Constantin desde a sua fundação, em 1755.
Concebida como uma viagem iniciática em redor do espírito dos artesãos "cabinotiers" do século XVIII, a exposição é uma viagem de exploração na evolução da medida do tempo, das profissões a ela ligada e da influência das correntes artísticas, uma triologia que ritma a história da Vacheron Constantin desde a sua fundação, em 1755.
O visitante faz uma viagem no tempo, através de 180 peças de excepção, pertencentes ao património da manufactura genebrina, expostas em mais de 600 m2, num percurso que nos leva desde os primórdios da Relojoaria, a sua indústria e dos seus artesãos, em Genebra, até aos nossos dias.
Estação Cronográfica estará presente na inauguração desta histórica exposição e disso dará aqui conta.
Algumas das peças:
N° 11294Montre de poche
Chronographe-compteur à rattrapante, quantième perpétuel, phases de la lune, répétition minutes à la demande sur 3 timbres, grande sonnerie sonnant les heures, les quarts d’heure sur 3 timbres, petite sonnerie sonnant les heures.
1929
Or jaune 18K, émail, cadran argenté
Sur le fond les armoiries royales d’Egypte réalisées en émail genevois
Diamètre: 6.75 cm
Calibre RA 21'' chronographe-compteur à rattrapante, grande et petite sonneries sur trois timbres, quantième perpétuel, phases et âge de la lune, échappement à ancre, spiral "Breguet". 46 rubis.
Montre de poche offerte par la Colonie Suisse d’Egypte au Roi Fouad I en 1929.
N° 10659
Montre de poche
1923
Or jaune, email, cadran email, mouvement gravé
Dos de la montre ornée d’une peinture miniature technique genevoise représentant le tableau de Nicolas Poussin “Les Bergers d’Arcadie,” exécutée par l’une des plus importantes peintres miniaturistes genevoises du début du XXème siècle, Mlle Marie Goll.
Diamètre: 5 cm
Calibre 17'' moyen, échappement à ancre, 18 rubis, entièrement décoré à main.
Montre de poche
1923
Or jaune, email, cadran email, mouvement gravé
Dos de la montre ornée d’une peinture miniature technique genevoise représentant le tableau de Nicolas Poussin “Les Bergers d’Arcadie,” exécutée par l’une des plus importantes peintres miniaturistes genevoises du début du XXème siècle, Mlle Marie Goll.
Diamètre: 5 cm
Calibre 17'' moyen, échappement à ancre, 18 rubis, entièrement décoré à main.
N° 10198
Montre de poche
1755
Argent, cadran en émail
Diamètre: 4.5 cm
Calibre 16''
Echappement à roue de rencontre, barillet avec fusée, remontage et mise à l’heure à une clé
Première montre de poche connue du fondateur de la Manufacture. Mouvement gravé avec l’inscription: “J:M:Vacheron A GENEVE “
Montre de poche
1755
Argent, cadran en émail
Diamètre: 4.5 cm
Calibre 16''
Echappement à roue de rencontre, barillet avec fusée, remontage et mise à l’heure à une clé
Première montre de poche connue du fondateur de la Manufacture. Mouvement gravé avec l’inscription: “J:M:Vacheron A GENEVE “
N° 10174
Montre dame
1917
Boîte et bracelet chaîne en platine.
Couvercle rehaussé d’une intaille en émeraude gravée d’un portrait à la grecque.
Cadran argent grené à chiffres arabes.
Aiguille de type poire.
Dimensions: 2.02 x 1.8 cm
Calibre RA 6'' 12/12, échappement à ancre, spiral plat, 18 rubis
Montre dame
1917
Boîte et bracelet chaîne en platine.
Couvercle rehaussé d’une intaille en émeraude gravée d’un portrait à la grecque.
Cadran argent grené à chiffres arabes.
Aiguille de type poire.
Dimensions: 2.02 x 1.8 cm
Calibre RA 6'' 12/12, échappement à ancre, spiral plat, 18 rubis
Da manufactura:
Des documents d’archives de Jean-Marc Vacheron et François Constantin aux outils d’horlogers, des établis des artisans cabinotiers genevois aux machines inventées par Georges Auguste Leschot - l’inventeur notamment du pantographe en 1839, appareil qui a révolutionné l’industrie horlogère en permettant une reproduction en série de composants - la scénographie donne vie à un univers technique et esthétique d’une incroyable richesse. La grande variété des pièces rassemblées ici constitue à elle seule un trésor vivant, unique en son genre. Elle démontre le savoir-faire et la créativité de Vacheron Constantin, de même que son incroyable capacité d’innovation depuis sa création. Des premières montres de poche aux pendules, des parures horlogères aux Grandes Complications, toutes prennent part à cette rétrospective, inédite, de l’histoire de Vacheron Constantin et de la tradition genevoise de Haute Horlogerie.
Si une montre Vacheron Constantin est avant tout un instrument de lecture du temps, elle se plaît également à être une pièce de haute technologie, un symbole de statut social ou encore un accessoire du quotidien. Quelle qu’elle soit, elle demeure un concentré d’histoire et d’innovation, un réel objet d’art. Tel un livre ouvert sur le passé et le présent, les garde-temps exposés mettent en lumière les Métiers d’Art sans lesquels la Haute Horlogerie ne saurait rayonner avec autant d’éclat. La pièce maîtresse de l’exposition en est une brillante illustration : créée en 1923, la montre de poche Les Bergers d’Arcadie cristallise à elle seule l’alchimie des savoir-faire manufacturiers érigés sur la quête constante d’excellence. Ce chef d’œuvre marie les talents des horlogers, émailleurs et graveurs de la Maison dans un boîtier en triptyque fascinant, taillé dans l’or jaune. Une peinture miniature en émail Grand Feu technique genevoise représentant fidèlement et dans les moindres détails le célèbre tableau de Nicolas Poussin en orne le dos.. Le double-fond est quant à lui enrichi d’un décor champêtre en ramolayé figurant une scène pastorale intégralement gravé à la main. Deux chérubins veillent sur le mouvement mécanique à remontage manuel également gravé à la main dans les règles de l’art, visible une fois la montre ouverte.
« Treasures of Vacheron Constantin - A legacy of watchmaking since 1755 » est bien plus qu’une exposition de montres. Sur place, pour quelques jours à l’ouverture de l’exposition, de talentueux artisans qui travaillent aux créations de la Manufacture livreront au visiteur quelques-uns de leurs secrets. Un graveur, un sertisseur, un guillocheur, un émailleur et un horloger seront présents pour témoigner de ce savoir-faire hérité des siècles passés et qui nourrit encore aujourd’hui une créativité sans cesse renouvelée.
L’initiation du visiteur débute dans un atelier de cabinotier du 18ème siècle, symbole des métiers originels de Vacheron Constantin qui ont façonné son identité. Identique à celui de la Maison du Quai de l’Ile de l’époque, l’atelier ouvre la porte sur les habitudes de travail des maîtres artisans de Genève : qu’ils soient horlogers, graveurs, orfèvres ou émailleurs, ces hommes nourris par la philosophie des Lumières constituent l’aristocratie de l’artisanat. C’est dans ce contexte propice à la liberté de création que Jean-Marc Vacheron conçoit ses montres de poche, dont la première connue signée « J M Vacheron à Genève », réalisée dans les années 1750, est exposée ici comme la digne aïeule d’un patrimoine historique exceptionnel. On remarque déjà son raffinement et le soin porté à l’esthétique de l’objet. Dotée d’un échappement à roue de rencontre, elle est ornée d’aiguilles en or très finement ciselées, tout comme le coq délicatement ouvragé en de très élégantes arabesques. La première montre connue de Vacheron Constantin témoigne déjà d’une double exigence technique et esthétique.
Plongé dans cette époque qui a vu s’épanouir la Haute Horlogerie genevoise dont Vacheron Constantin est un des plus anciens et illustres représentant, le visiteur chemine dans un espace-temps thématique où chacun des métiers-phares de la Manufacture lui dévoile son art. Celui du maître-horloger s’illustre notamment par la montre de poche à Grande Complication réalisée en 1929 pour le Roi Fouad 1er. Par ses finitions soignées, son niveau de qualité élevé jusque dans les moindres détails et une proportion d’ensemble aboutie, son mouvement mécanique doté de 46 rubis renferme le summum de l’art horloger : un chronographe à rattrapante, un totalisateur 30 minutes, une petite sonnerie des heures seules, une fonction silence, une grande sonnerie au passage sur carillon à trois timbres, une répétition minutes, un quantième perpétuel, les phases et âges de la lune. C’est une occasion unique pour le visiteur de découvrir cette pièce, une des plus compliquées réalisée par la manufacture, dans la section dédiée au Maître horloger. Autant de prouesses techniques qui lui permettent de comprendre comment les horlogers, depuis toujours, ont appréhendé les heures et exprimé la complexité du temps.
La section dévolue aux Métiers d’Art témoigne avec éclat de la richesse exceptionnelle des arts décoratifs appliqués à la montre. Beauté des mouvements, beauté des boîtiers, beauté des cadrans, Vacheron Constantin n’a jamais privilégié aucun élément au détriment des autres. Horloger complet, il crée des mécanismes performants et élégants, du plus simple au plus compliqué. Fabricant de boîtes, il habille les mouvements plus qu’il ne les protège, les magnifie en leur insufflant son propre style. Fabricant de cadrans, il charge les meilleurs graveurs, guillocheurs, émailleurs et joailliers-sertisseurs de leur donner le visage idéal. Une vocation d’excellence résumée par l’adage de la Maison : « Faire mieux si possible, ce qui est toujours possible ».
Les ateliers ainsi recréés, les artisans présents, leurs outils ainsi que les nombreuses pièces historiques incarnent la valeur intrinsèque que confère la main de l’homme à chaque garde-temps. Une valeur unique, précieuse, que Vacheron Constantin veille à perpétuer depuis plus de 250 ans dans le plus grand respect de la tradition artisanale.
« Cette première grande exposition des « Trésors de Vacheron Constantin - un héritage horloger depuis 1755 » pose les prémices d’un long périple culturel pour conter la richesse de notre histoire, en écho à celle de la Haute Horlogerie. Une histoire qui demeure celle d’une des plus belles démonstrations d’un travail communautaire, où chaque montre est le fruit d’une symbiose de talents et de la rencontre d’hommes et de femmes qui unissent leurs savoir-faire dans une même création. Il est de notre devoir de veiller à transmettre cet héritage humain, inestimable empreinte laissée à l’Histoire. », Juan Carlos Torres, Directeur Général de Vacheron Constantin.
L’exposition « Treasures of Vacheron Constantin - A legacy of watchmaking since 1755 » lie ainsi passé, présent et futur dans un esprit de découverte et d’exploration. « Plus vous saurez regarder loin dans le passé, plus vous verrez loin dans le futur » : cette phrase de Winston Churchill trouve au cœur du Musée National de Singapour un écho particulier. Intimiste malgré ses 600m2, l’exposition met en lumière ce temps qui règle les pas des hommes, accompagne l’évolution des techniques, des courants artistiques et des modes de vie. Chaque montre Vacheron Constantin renferme en son cœur une partie de l’histoire, celle de l’horlogerie en particulier, celle, plus large, de l’art, de la culture et de la société. Chacune laisse entrevoir l’identité d’une marque toujours en avance sur son temps, qui a déjà commencé à écrire un nouveau chapitre de son histoire et de celle de l’horlogerie en s’appuyant, comme hier, sur son héritage en perpétuelle innovation.
« Au gré de ce voyage, nous prenons conscience que la longue histoire de l’horlogerie concentre non seulement les développements et les innovations techniques, mais reflète également l’évolution du temps, de l’histoire en général, des tendances et des modes de vies », Chor Linn, Directeur du Musée National de Singapour.
Des documents d’archives de Jean-Marc Vacheron et François Constantin aux outils d’horlogers, des établis des artisans cabinotiers genevois aux machines inventées par Georges Auguste Leschot - l’inventeur notamment du pantographe en 1839, appareil qui a révolutionné l’industrie horlogère en permettant une reproduction en série de composants - la scénographie donne vie à un univers technique et esthétique d’une incroyable richesse. La grande variété des pièces rassemblées ici constitue à elle seule un trésor vivant, unique en son genre. Elle démontre le savoir-faire et la créativité de Vacheron Constantin, de même que son incroyable capacité d’innovation depuis sa création. Des premières montres de poche aux pendules, des parures horlogères aux Grandes Complications, toutes prennent part à cette rétrospective, inédite, de l’histoire de Vacheron Constantin et de la tradition genevoise de Haute Horlogerie.
Si une montre Vacheron Constantin est avant tout un instrument de lecture du temps, elle se plaît également à être une pièce de haute technologie, un symbole de statut social ou encore un accessoire du quotidien. Quelle qu’elle soit, elle demeure un concentré d’histoire et d’innovation, un réel objet d’art. Tel un livre ouvert sur le passé et le présent, les garde-temps exposés mettent en lumière les Métiers d’Art sans lesquels la Haute Horlogerie ne saurait rayonner avec autant d’éclat. La pièce maîtresse de l’exposition en est une brillante illustration : créée en 1923, la montre de poche Les Bergers d’Arcadie cristallise à elle seule l’alchimie des savoir-faire manufacturiers érigés sur la quête constante d’excellence. Ce chef d’œuvre marie les talents des horlogers, émailleurs et graveurs de la Maison dans un boîtier en triptyque fascinant, taillé dans l’or jaune. Une peinture miniature en émail Grand Feu technique genevoise représentant fidèlement et dans les moindres détails le célèbre tableau de Nicolas Poussin en orne le dos.. Le double-fond est quant à lui enrichi d’un décor champêtre en ramolayé figurant une scène pastorale intégralement gravé à la main. Deux chérubins veillent sur le mouvement mécanique à remontage manuel également gravé à la main dans les règles de l’art, visible une fois la montre ouverte.
« Treasures of Vacheron Constantin - A legacy of watchmaking since 1755 » est bien plus qu’une exposition de montres. Sur place, pour quelques jours à l’ouverture de l’exposition, de talentueux artisans qui travaillent aux créations de la Manufacture livreront au visiteur quelques-uns de leurs secrets. Un graveur, un sertisseur, un guillocheur, un émailleur et un horloger seront présents pour témoigner de ce savoir-faire hérité des siècles passés et qui nourrit encore aujourd’hui une créativité sans cesse renouvelée.
L’initiation du visiteur débute dans un atelier de cabinotier du 18ème siècle, symbole des métiers originels de Vacheron Constantin qui ont façonné son identité. Identique à celui de la Maison du Quai de l’Ile de l’époque, l’atelier ouvre la porte sur les habitudes de travail des maîtres artisans de Genève : qu’ils soient horlogers, graveurs, orfèvres ou émailleurs, ces hommes nourris par la philosophie des Lumières constituent l’aristocratie de l’artisanat. C’est dans ce contexte propice à la liberté de création que Jean-Marc Vacheron conçoit ses montres de poche, dont la première connue signée « J M Vacheron à Genève », réalisée dans les années 1750, est exposée ici comme la digne aïeule d’un patrimoine historique exceptionnel. On remarque déjà son raffinement et le soin porté à l’esthétique de l’objet. Dotée d’un échappement à roue de rencontre, elle est ornée d’aiguilles en or très finement ciselées, tout comme le coq délicatement ouvragé en de très élégantes arabesques. La première montre connue de Vacheron Constantin témoigne déjà d’une double exigence technique et esthétique.
Plongé dans cette époque qui a vu s’épanouir la Haute Horlogerie genevoise dont Vacheron Constantin est un des plus anciens et illustres représentant, le visiteur chemine dans un espace-temps thématique où chacun des métiers-phares de la Manufacture lui dévoile son art. Celui du maître-horloger s’illustre notamment par la montre de poche à Grande Complication réalisée en 1929 pour le Roi Fouad 1er. Par ses finitions soignées, son niveau de qualité élevé jusque dans les moindres détails et une proportion d’ensemble aboutie, son mouvement mécanique doté de 46 rubis renferme le summum de l’art horloger : un chronographe à rattrapante, un totalisateur 30 minutes, une petite sonnerie des heures seules, une fonction silence, une grande sonnerie au passage sur carillon à trois timbres, une répétition minutes, un quantième perpétuel, les phases et âges de la lune. C’est une occasion unique pour le visiteur de découvrir cette pièce, une des plus compliquées réalisée par la manufacture, dans la section dédiée au Maître horloger. Autant de prouesses techniques qui lui permettent de comprendre comment les horlogers, depuis toujours, ont appréhendé les heures et exprimé la complexité du temps.
La section dévolue aux Métiers d’Art témoigne avec éclat de la richesse exceptionnelle des arts décoratifs appliqués à la montre. Beauté des mouvements, beauté des boîtiers, beauté des cadrans, Vacheron Constantin n’a jamais privilégié aucun élément au détriment des autres. Horloger complet, il crée des mécanismes performants et élégants, du plus simple au plus compliqué. Fabricant de boîtes, il habille les mouvements plus qu’il ne les protège, les magnifie en leur insufflant son propre style. Fabricant de cadrans, il charge les meilleurs graveurs, guillocheurs, émailleurs et joailliers-sertisseurs de leur donner le visage idéal. Une vocation d’excellence résumée par l’adage de la Maison : « Faire mieux si possible, ce qui est toujours possible ».
Les ateliers ainsi recréés, les artisans présents, leurs outils ainsi que les nombreuses pièces historiques incarnent la valeur intrinsèque que confère la main de l’homme à chaque garde-temps. Une valeur unique, précieuse, que Vacheron Constantin veille à perpétuer depuis plus de 250 ans dans le plus grand respect de la tradition artisanale.
« Cette première grande exposition des « Trésors de Vacheron Constantin - un héritage horloger depuis 1755 » pose les prémices d’un long périple culturel pour conter la richesse de notre histoire, en écho à celle de la Haute Horlogerie. Une histoire qui demeure celle d’une des plus belles démonstrations d’un travail communautaire, où chaque montre est le fruit d’une symbiose de talents et de la rencontre d’hommes et de femmes qui unissent leurs savoir-faire dans une même création. Il est de notre devoir de veiller à transmettre cet héritage humain, inestimable empreinte laissée à l’Histoire. », Juan Carlos Torres, Directeur Général de Vacheron Constantin.
L’exposition « Treasures of Vacheron Constantin - A legacy of watchmaking since 1755 » lie ainsi passé, présent et futur dans un esprit de découverte et d’exploration. « Plus vous saurez regarder loin dans le passé, plus vous verrez loin dans le futur » : cette phrase de Winston Churchill trouve au cœur du Musée National de Singapour un écho particulier. Intimiste malgré ses 600m2, l’exposition met en lumière ce temps qui règle les pas des hommes, accompagne l’évolution des techniques, des courants artistiques et des modes de vie. Chaque montre Vacheron Constantin renferme en son cœur une partie de l’histoire, celle de l’horlogerie en particulier, celle, plus large, de l’art, de la culture et de la société. Chacune laisse entrevoir l’identité d’une marque toujours en avance sur son temps, qui a déjà commencé à écrire un nouveau chapitre de son histoire et de celle de l’horlogerie en s’appuyant, comme hier, sur son héritage en perpétuelle innovation.
« Au gré de ce voyage, nous prenons conscience que la longue histoire de l’horlogerie concentre non seulement les développements et les innovations techniques, mais reflète également l’évolution du temps, de l’histoire en général, des tendances et des modes de vies », Chor Linn, Directeur du Musée National de Singapour.
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