J’ai toujours vécu mon âme fixé sur l’horloge. Certes, j’ai tout fait pour que le temps qu’elle sonna restât présent dans la chambre… et comme j’étais obligé pour ne pas douter de moi de m’asseoir en face de cette glace, j’ai recueilli précieusement les moindres atômes du temps dans des étoffes sans cesse épaissies. – L’horloge m’a fait souvent grand bien.
Stéphane Mallarmé
Sem comentários:
Enviar um comentário